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Léa écrit donc sur tout, depuis toujours. Mais il y a quelques années, l’univers érotique a été une véritable révélation, Léa s’est découvert une réelle appétence pour ce genre si particulier. Alors, il y a 2 ans, elle commence à publier ses récits sur Instagram. Et ça cartonne. 30 000 abonné.e.s aujourd’hui.
Face à cet engouement, elle veut aller plus loin et créer un blog pour proposer des récits plus poussés. Un succès là encore. Tout naturellement, elle a ensuite auto-édité un recueil de nouvelles. “Il y a toujours un message dans mes textes, pour remettre en question notre rapport à la sexualité, aux fantasmes, aux corps et à l’amour”.
La bonne nouvelle pour celles et ceux qui lisent Celle qui aimait : Léa travaille en ce moment même sur son premier roman, “l’exercice d’écriture le plus difficile à mon sens”, confie-t-elle. (…)

Son compte Instagram : @celle.qui.aimait

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Christine Berrou s’est fait connaître par le Jamel Comedy Club, elle a fait partie de la troupe d’humoristes pendant 4 ans. Mais elle confie que l’humour est presque secondaire dans son travail. Christine Berrou regarde, décortique une société qui l’interpelle : “ce que j’aime dans mon travail d’artiste, c’est d’expérimenter des choses, j’adore me poser des questions, proposer des théories : sur l’amour, les réseaux sociaux, les femmes, la toxicité”, explique-t-elle.
Après 10 ans de radio, Christine Berrou anime son propre podcast, Livre-échange. Elle est, évidemment, sur scène avec son spectacle Trop, inspiré de sa vie ; elle y évoque le rôle de mère célibataire, l’éducation des enfants, l’école ou encore les nouvelles technologies. Elle sera tous les dimanches à 19h à La Nouvelle Seine à Paris à partir du 2 avril.
Et comme Christine Berrou a des choses à dire, elle travaille également sur son prochain livre et propose chaque semaine une chronique politique Liberté, égalité, simplicité sur Teva. (…)

Son compte Instagram : @christine_berrou

Crédit photo : Fifou

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Quand nous l’avions reçue sur notre podcast talk, nous lui avions demandé sa définition de l’érotisme : ”tout ce qui à trait au corps, à la sexualité, sous toutes ses formes”, avait-elle répondu. C’est vrai que l’on trouve beaucoup de choses, très variées à La Musardine. Et même si le genre a longtemps été dominé par une vision très masculine, le secteur opère, depuis plusieurs années, une mutation féministe avec des autrices et des propositions qui changent. Dans quelques semaines, la maison d’édition pionnière en la matière sort d’ailleurs un recueil de nouvelles écrites par les femmes, incarnant parfaitement cette nouvelle génération d’autrices de littérature érotique. On vous en reparlera ! En attendant, Anne nous livre ses inspirations érotiques… (…)

Son compte Instagram : @annehautecoeur

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Auprès de ses lecteur.rice.s et de ses abonné.e.s, Sara parle d’amour, de sexe, de relation, d’intimité avec fraicheur, engagement et humour. Et pour aller encore plus loin, elle vient tout juste de lancer le Club Nicole, une plateforme en ligne sur abonnement pour se réunir et échanger chaque mois autour d’une thématique précise.

Après trois ans d’articles, de causeries et de contenus engagés, elle avait envie de proposer à sa communauté du contenu exclusif, décliné sous plusieurs formats : podcasts, articles et rencontres. (…)

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“La sexualité fait partie de notre identité, et peut parfois être un espace complexe pouvant engendrer souffrances et incompréhensions. S’autoriser à penser sa sexualité, à la questionner c’est se permettre d’en devenir l’acteurice principale et ne plus la subir”, explique-t-elle. Dans sa pratique, Claire Alquier essaie alors de transmettre une idée phare qui lui est chère : la sexualité n’est pas innée, elle s’apprend et va évoluer tout au long de la vie.

Et elle va plus loin, en essayant, à son niveau, de participer à la libération de la parole sur la sexualité qu’on observe depuis quelques années. On peut la voir régulièrement dans les médias et elle sera, à nos côtés le 11 mars prochain au Pop Women Festival pour participer à une table ronde sur l’érotisme. (…)

Son compte Instagram : @clairealquier_sexologue

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Elle a commencé à produire du contenu sur Instagram pour partager son quotidien avec ses ami.e.s, un peu par hasard finalement. Mais à l’instar de nombreux artistes, la plateforme lui a servi de vitrine pour ses dessins et aujourd’hui elle est suivie par plus de 30 000 personnes.

Authentique et directe, elle annonce la couleur dans la bio de son compte : “un jour ça allait pas, je l’ai dessiné, depuis ça va mieux. Donc je continue.” Sur Instagram, Léa raconte, avec beaucoup d’humour et de simplicité ses états d’âmes, ses doutes, ses histoires, ses crushs, elle y parle de sa vie, de ses émotions, d’elle. Son quotidien prend forme sous ses coups de crayon, avec toujours un propos sincère et brut. (…) 

Son compte Instagram : @mkllea

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Elle commence à perdre l’audition à l’âge de 25 ans. « C’est un peu plus tard que j’ai compris que cela allait vraiment changer ma vie, que j’allais devoir porter des appareils, et que ces appareils allaient impacter vraiment mon corps et ma sensibilité », explique-t-elle.

En 2020, Zoé publie alors sous forme de podcast Journal de mes oreilles, un récit autobiographique qui raconte sa perte auditive, puis le publie aux Éditions Flammarion en 2021. Et même si sa maladie fatigue beaucoup son corps, Zoé est prolifique. Elle foule les plateaux de théâtre et de cinéma depuis 2011, pose dans des ateliers de dessin, sculpture, peinture et photo pour de nombreux artistes, a notamment été exposé à la galerie Basia Embiricos en juin 2022 avec son travail plastique et publiée dans plusieurs revues de poésie en France et à l’étranger.

Depuis 2015, elle performe au sein du Bordel de la poésie (Paris), dont elle est la co-directrice aux côtés des poétesses Rim Battal et Laura Lutard. En ce moment, Zoé est en résidence à la librairie Zeugma (Montreuil) pour l’écriture de son deuxième livre et vient de sortir un album de poèmes accompagnés de musiques électroniques : Sourdre (et autres poèmes). (…) 

Son compte Instagram : @zoebesmonddesenneville

Crédit photo : Natacha Lamblin

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Mais Lucie ne dessine pas que des pâtes, elle est illustratrice, c’est son métier, et sa passion, depuis toujours. Elle raconte qu’elle fait des BD depuis qu’elle est toute petite.

Aujourd’hui elle axe son travail sur les femmes, leur rapport au corps et leur intimité : ” tantôt engagé, avec des thématiques telles que le féminisme, le bodypositive, la sexualité. Tantôt plus légers, avec des illustrations/strips plus humoristiques, où chacun.e d’entre nous peut se retrouver”, explique-t-elle.

Lucie et son trait coloré et vif, qui s’inspire notamment de la culture pop des années 90, aime insuffler de la force et de la bienveillance dans ses créations.

Les deux dernières BD que Lucie Caron a illustrées sont toujours dispo, “L’homme sous pilule” avec Anne-Sophie Delcourt aux éditions Marabulles sur la contraception masculine et “Ne jamais couler” avec Marie de Brauer aux éditions Leduc sur la grossophobie.

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Dans Mine de rien, son ouvrage paru chez le Castor astral en 2022, elle écrit en vers libre : « Avec des mots, je ne dis rien. Avec les mains, la cuisse accueillante, le gigot qui gigote, l’œil ouvert, je donne ce que j’ai à donner. Je répare, j’absous, comme le font les très vieux enfants ».

Photographe et poétesse, elle co-dirige, avec Zoé Besmond de Senneville et Laura Lutard, Le Bordel de la Poésie et a initié La Biennale intime de poésies en 2018. Rim Battal a publié plusieurs ouvrages : L’eau du bain en 2019 et Mine de rien. Son dernier livre, Pommes girl, vient de paraître aux éditions Kulte (Maroc) en version bilingue arabe français.

Son compte insta : @rimbattal

Crédit photo : Anne-Sophie Guillet

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C’est donc ce qu’elle fait sur son compte Insta mais aussi dans Hot Line, l’émission exclu Spotify dans laquelle elle est chroniqueuse, en essayant d’aborder un large spectre de sujet autour de la sexualité, comme l’histoire, la sociologie ou encore les mécaniques anatomiques.

Manon explique qu’elle s’est “toujours éduquée par des livres”, c’est alors tout naturellement qu’elle sort, en 2021 Le cul mis à nu, un ouvrage “ludique, fun, positif et visuellement pas trop sérieux”. Vous pouvez aussi retrouver son jeu le Cul-Iz pour tester votre cul-ture !

Son compte insta : @lecul_nul

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Au même moment, elle passe une audition pour présenter le cabaret burlesque à la Nouvelle Seine et tombe amoureuse de cet art de l’effeuillage tout particulier : “le corps entre en scène mais le but du propos n’est pas de se montrer mais d’interpréter quelque chose, on détourne les codes de la nudité, de la sensualité”, explique-t-elle.

L’année dernière, elle fonde son propre plateau de stand up et d’effeuillage burlesque, le Paillettes Comedy String qui réunit des humoristes et effeuilleur.euse.s pour un show engagé. Si vous avez envie d’écouter Fanny parler de son travail, écoutez l’épisode 3 de notre podcast conversationnel, Résonne.

Son compte insta : @fanny_spinetta

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